jeudi 29 novembre 2007
dimanche 18 novembre 2007
Margot, Cabaret Dromesko Mettre en scène 2007
Par le Cabaret Dromesko |
Retour de l'hospitalière tanière d'Igor et Lily, cette baraque où, entre quatre planches, les fondateurs de la Volière Dromesko vous servent sans façon, mais avec la manière, musique, soupe, vin chaud et autres agapes. Ils nous convient à rencontrer Margot dans un spectacle musical qui réserve quelques belles surprises. Rappelons l'argument de ce petit opéra loufoque : pendant qu'Henri, roi de Navarre, guerroie en de lointaines contrées, chevauchant à la tête de son armée depuis de longs mois, la reine Margot, attend, délaissée, l'esprit encombré des pensées funestes que lui renvoient les atrocités de la guerre. Le Théâtre Dromesko a choisi de monter Margot, petite pièce lyrique quasiment inconnue, pour la beauté de son livret et la richesse de la partition musicale de Jean-François Chevillard, mais surtout parce qu'elle traite, en relatant cet épisode historique, du thème de « l'attente ». Qui ne saurait être déçue ! |
Psycho de Benoît-Marie Moriceau
Psycho de Benoît-Marie Moriceau |
Depuis le mois d'avril 2006, le lieu d'exposition d'art contemporain 40mcube a intégré un hôtel particulier du centre ville de Rennes, et mis en place un projet spécifique à ce cadre. Cet espace domestique est investi comme lieu de travail, de résidence d'artistes et d'exposition, d'évènements rendus publics. Cette architecture chargée de prestige, qui agit sur l'imaginaire collectif, constitue un décor singulier pour une fiction. La programmation qui y prend place est pensée comme un tout décliné dans le temps. Ainsi Le Château, entre Kafka et la Star Academy, est à la fois un cadre et un support d'expositions et d'oeuvres. Tout peut y être investi par les artistes, des espaces du premier étage dévolus aux expositions aux bureaux et à la cuisine du rez-de-chaussée, à la façade et au jardin. Jusqu'en juillet 2008, Le Château est un lieu incontournable à Rennes, un lieu mythique. Dans le cadre de la série d'expositions programmées au Château – L'Ambassade des possibles, TERMINATOR, Les biches – 40mcube invite l'artiste Benoît-Marie Moriceau en résidence de travail du 1er juillet au 30 septembre 2007 en vue d'une exposition au moins d'octobre 2007. Le travail de Benoît-Marie Moriceau consiste en une intervention sur l'espace et l'architecture dont il perturbe la structure en créant de nouveaux espaces et de nouvelles circulations tout aussi crédibles que les précédents. Seuls d'infimes indices permettent de distinguer le préexistant du construit dans ces décors qui comprennent des recoins, des points de vue, des espaces cachés. Pour Chantier public#2, exposition organisée par 40mcube en 2005, il recompose l'espace d'exposition à l'aide de cloisons, portes et autres éléments d'aménagement. Ce chantier modifiait ainsi de manière éphémère l'agencement et le caractère du lieu dans une proposition entre sculpture, installation et architecture. Au Château, Benoît-Marie Moriceau propose une nouvelle interprétation de l'architecture de cette maison bourgeoise. Partant du film d'Alfred Hitchcock, Psycho (titre original du film sorti en France sous le nom de Psychose), il réalise une oeuvre du même nom qui consiste à peindre le Château en noir. Cette proposition, qui laisse au premier abord interdit, est extrêmement riche de sens et d'interprétations. Nous y reviendrons longuement dans la partie consacrée à la médiation. |
Prises de vue L.L.
(Not) a love song Mettre en scène 2007
Trois divas et un musicien: deux femmes et deux hommes dans un décor de cinéma noir et blanc. Entre Fassbinder et Wilder, ils nous plongent dans ces romances où la tragédie d'amour est forcément élégante. Claudia Triozzi, Vera Mantero et Miguel Gutierrez, comme des stars déchues à la voix d'or, rejouent des scènes de films et nous entraînent dans un répertoire entre rock, pop et chanson sud-américaine revisité par Vincent Ségal. Sous les roucoulements et le glamour se glisse l'épaisseur de la solitude, d'un monde disparu que l'on maintient en vie. Alain Buffard, chorégraphe très contemporain, utilise avec distance les codes de la comédie musicale. Sous l'esthétique parfaite, les corps et les voix parés de leurs plus beaux atours, se dessine en creux ce qui ne sera jamais plus : la légèreté de la jeunesse. Et s'égrènent les chansons, un sourire aux lèvres, comme des pincements au coeur.
jeudi 15 novembre 2007
Proposition Rennes sur roulettes 2008
lundi 5 novembre 2007
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Le mot du blogger
Toutes les œuvres que vous allez voir sont uniques. lol.
Ces dernières peuvent être de ma propre création ou bien d'artistes, de tendances qui m' influencent.
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